Your browser doesn't support javascript.
loading
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 3 de 3
Filter
1.
Health sci. dis ; 24(2 Suppl 1): 31-35, 2023.
Article in French | AIM | ID: biblio-1416410

ABSTRACT

Objectif. Mettre à jour les données sur la prévalence des infections transmissibles par transfusion en contexte de pandémie à coronavirus est très important pour la sécurité transfusionnelle dans notre milieu. Méthodes. Une étude transversale prospective a été menée du 05 avril au 02 mai 2021 au Centre Hospitalier et Universitaire de Yaoundé. Les donneurs de sang ont été inclus consécutivement après un entretien médical et dépistés pour les infections du Virus de l'Immunodéficience Humaine, du virus de l'hépatite B, du virus de l'hépatite C et du Treponema pallidum. L'analyse statistique a été faite à l'aide du logiciel SPSS version 23.0 avec pour seuil de significativité p<0,05. Résultats. Au total, 32/232 donneurs (13,8 %) avaient au moins une infection transmissible par transfusion. Les prévalences étaient de 7,8 %, 5,6 %, 0,9 % et 0,9 % respectivement pour l'infection à Virus de l'Immunodéficience Humaine, Virus de l'hépatite B, Virus de l'hépatite C et Treponema pallidum. La régression logistique binaire concernant le Virus de l'Immunodéficience Humaine a montré que le sexe masculin et le groupe sanguin AB étaient significativement associés à cette infection. Aucune association n'a été retrouvée pour les autres infections. Conclusion. Avec le contexte difficile lié à la pandémie à coronavirus, la prévalence cumulée des infections transmissibles par transfusion est restée relativement élevée. Une bonne sélection médicale des donneurs reste la clé pour permettre la sécurité transfusionnelle.


Objective. Updating data on the prevalence of transfusion-transmissible infections in the context of the coronavirus pandemic is very important for blood safety in our environment. Method. A prospective cross-sectional study was conducted from April 05 to May 02, 2021 at the Yaoundé University Teaching Hospital. Blood donors were included consecutively after a medical interview and screened for Human Immunodeficiency Virus, Hepatitis B virus, Hepatitis C virus and Treponema pallidum infections. Statistical analysis was performed using SPSS version 23.0 software with the significance level p<0.05. Results. In total, 32/232 donors (13.8%) had at least one transfusion-transmissible infection. The prevalences were 7.8%, 5.6%, 0.9% and 0.9% respectively for infection with Human Immunodeficiency Virus, Hepatitis B Virus, Hepatitis C Virus and Treponema pallidum. Binary logistic regression for Human Immunodeficiency Virus showed that male sex and AB blood group were significantly associated with this infection. No association was found for the other infections. Conclusion. With the difficult context linked to the coronavirus pandemic, the cumulative prevalence of infections transmissible by transfusion has remained relatively high. A good medical selection of donors remains the key to allow transfusion safety.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Hepatitis B virus , Hepacivirus , COVID-19
2.
Health sci. dis ; 24(2 Suppl 1): 26-30, 2023. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1416528

ABSTRACT

Background. The COVID-19 pandemic has added an additional burden in countries with already fragile health systems. Our objective was to determine the prevalence and seroprevalence of COVID-19 in suspected malaria during the second wave in Yaounde. Methods. A descriptive cross-sectional study was conducted at the Jordan Medical Services for 8 weeks from April 19 to June 13, 2021, i.e., during the second wave in Cameroon. For the 86 patients with suspected malaria, nasopharyngeal and blood samples were taken for SARS-CoV-2 antigen and anti-SARS-CoV-2 IgG and IgM using the STANDARD TM Q COVID-19 Ag kit from SD BIOSENSOR, Korea, 2020 and Standard TM Q COVID 19 Ac IgG/IgM kit from SD BIOSENSOR, Korea, 2020 respectively. Confirmation of malaria was done by microscopic examination of stained blood smears. Results. Malaria was confirmed in 20.9% (18) of cases. The prevalences of COVID-19 and COVID-19/malaria co-infection were 8.1% and 0.9% respectively. Of the 25.6% (54) of patients with anti-COVID-19 IgM, no positive microscopic cases were found. On the other hand, a little more than half of the patients had IgG antibodies against COVID-19 whether they had a positive thick drop or not (56.0% (42/75) and 52.2% (71/136) respectively). Conclusion. In case of suspicion of malaria in a malaria area, it seems important to consider COVID-19 as a differential diagnosis.


Introduction. La pandémie de la COVID-19 a ajouté un fardeau supplémentaire dans les pays aux systèmes de santé déjà fragiles. Objectif : déterminer la prévalence et la séroprévalence de la COVID-19 en cas de suspicion du paludisme au cours de la deuxième vagueà Yaoundé. Méthodologie. Une étude transversale descriptive a été menée au Centre Médical le Jourdain pendant 8 semaines du 19 Avril au 13 Juin 2021 soit durant la deuxième vague au Cameroun. Pour les 86 patients avec suspicion de paludisme, des prélèvements nasopharyngé et sanguins ont été réalisés pour la recherche d'antigène du SRAS- CoV 2 et des IgG et IgM anti-SARS-CoV-2 grâce aux kits STANDARDTM Q COVID-19 Ag de SD BIOSENSOR, Corée, 2020 et StandardTM Q COVID 19 Ac IgG/IgM de SD BIOSENSOR, Corée, 2020 respectivement. La confirmation du paludisme a été faite grâce à l'examen microscopique des étalements de sang colorés. Résultats. Le paludisme était confirmé dans 20,9% (18) des cas. Les prévalences de la COVID-19 et de la coïnfection COVID19/Paludisme étaient de 8,1% et de 0,9% respectivement. Sur les 25,6% (54) des patients avec des IgM anti-COVID-19, aucun cas de microscopie positive n'a été retrouvé. Par ailleurs un peu plus de la moitié des patients avaient des anticorps IgG anti-COVID-19 qu'ils aient une goutte épaisse positive ou pas soit 56,0% (42/75) et 52,2% (71/136) respectivement. Conclusion. En cas de suspicion du paludisme en zone impaludée, il parait non négligeable de considérer la COVID-19 comme un diagnostic différentiel.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Signs and Symptoms , COVID-19 , Malaria , Therapeutics , Prevalence , Coinfection , SARS-CoV-2
3.
Health sci. dis ; 24(2 Suppl 1): 23-27, 2023. figures, tables
Article in English | AIM | ID: biblio-1416547

ABSTRACT

Background. Health care personnel constitute a group at high risk of contracting COVID-19. However, the vaccination rate in this group in our context remains low. The objective of our study was to determine the factors associated with COVID-19 vaccine hesitancy among health care workers in Yaounde. Methods.We conducted a cross-sectional study of 360 health personnel in three hospitals in the city of Yaounde from January to March 2022, i.e., 3 months. All health personnel who gave their free consent were included. Ethical clearance was obtained from the Institutional Ethics and Research Committee of the Faculty of Medicine and Biomedical Sciences of the University of Yaounde I. A logistic regression was performed to search for factors associated with reluctance to vaccinate, with a significance level of 0.05. Results.The vaccination rate against COVID-19 was 34% (123). Factors associated with vaccine hesitancy were female gender (OR [95% CI] =3.5[2.2-5.5]; p<0.001), working outside a COVID-19 management unit (OR [95% CI]=6, [2.1-18.5]; p=0.001), fear of the harmfulness of COVID-19 vaccines (OR [CI 95%] =2.7[1.7-4.2]; p<0.001), and doubt of vaccine efficacy (OR [CI 95%] =4.0[2.5-6.4]; p<0.001). Conclusion:Health personnel are still reluctant to vaccinate in our context. Factors associated with hesitancy to vaccination against COVID-19 could help deconstruct apprehensions.


Introduction. La pandémie de la COVID-19 a ajouté un fardeau supplémentaire dans les pays aux systèmes de santé déjà fragiles. Objectif : déterminer la prévalence et la séroprévalence de la COVID-19 en cas de suspicion du paludisme au cours de la deuxième vagueà Yaoundé. Méthodologie. Une étude transversale descriptive a été menée au Centre Médical le Jourdain pendant 8 semaines du 19 Avril au 13 Juin 2021 soit durant la deuxième vague au Cameroun. Pour les 86 patients avec suspicion de paludisme, des prélèvements nasopharyngé et sanguins ont été réalisés pour la recherche d'antigène du SRAS- CoV 2 et des IgG et IgM anti-SARS-CoV-2 grâce aux kits STANDARDTM Q COVID-19 Ag de SD BIOSENSOR, Corée, 2020 et StandardTM Q COVID 19 Ac IgG/IgM de SD BIOSENSOR, Corée, 2020 respectivement. La confirmation du paludisme a été faite grâce à l'examen microscopique des étalements de sang colorés. Résultats. Le paludisme était confirmé dans 20,9% (18) des cas. Les prévalences de la COVID-19 et de la coïnfection COVID19/Paludisme étaient de 8,1% et de 0,9% respectivement. Sur les 25,6% (54) des patients avec des IgM anti-COVID-19, aucun cas de microscopie positive n'a été retrouvé. Par ailleurs un peu plus de la moitié des patients avaient des anticorps IgG anti-COVID-19 qu'ils aient une goutte épaisse positive ou pas soit 56,0% (42/75) et 52,2% (71/136) respectivement. Conclusion. En cas de suspicion du paludisme en zone impaludée, il parait non négligeable de considérer la COVID-19 comme un diagnostic différentiel.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Immunoglobulin G , Immunoglobulin M , Health Personnel , Severe Acute Respiratory Syndrome , Delivery of Health Care , Coinfection , COVID-19 Vaccines , COVID-19 , Vaccination Hesitancy , Cross-Sectional Studies , Pandemics
SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL